Cet article appartient au dossier : LCB-FT l'Europe s'active.

Le Conseil d’État confirme la légalité d’un refus de poursuites de l’ACPR

Le droit régissant la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, en constante évolution sous l’impulsion du législateur européen, peut donner lieu à des contentieux « étonnants », comme en témoigne une décision du Conseil d’État (CE 14 avril 2022, M. B. D., n° 450459).

Le Conseil d’État confirme la légalité d’un refus de poursuites de l’ACPR

L'auteur

Revue de l'article

Cet article est extrait de
Revue Banque n°869
Saisi d’un recours pour excès de pouvoir, le Conseil d’État apporte d’utiles précisions sur le contrôle juridictionnel des décisions de refus d’engagement de poursuites disciplinaires.En l’espèce, le requérant (M. D.), qui était le fondateur et le président d’une société exerçant une activité de lobbying auprès des pouvoirs publics, avait été considéré par la banque HSBC Continental Europe, dont il était le client, comme une personne « politiquement exposée » au sens du 1° de l’article L. 561-10 du Code monétaire et financier [1].En effet, le code prévoit des cas pour lesquels le ...
Lire la suite >>

L'article que vous souhaitez consulter est payant ou réservé à nos abonnés.

Vous êtes abonné.
Merci de vous identifier.

Achetez ce contenu à l'unité

Tarif : 5.00 euros TTC
Revue Banque

Sommaire du dossier

LCB-FT l'Europe s'active

Articles du(des) même(s) auteur(s)

Sur le même sujet